DOUCE France, la série documentaire de France 3 consacrera les 52 minutes de l’émission à Pierre Perret, le samedi 4 juin 2011 à 15h25.
Il sera pour l’instant visible sur France 3 Midi-pyrénées et Languedoc-Rousillon. Sans doute cet été sur France 3 « National ».

Ecrit par Jacques Pessis, réalisé par Laurent Lichtenstein et produit par P6 Productions, cette série de documentaires mêle la chanson et les régions : un artiste se raconte dans une région chère à son cœur ou à ses souvenirs, parce qu’il y a vécu des moments essentiels de sa vie.
D’autres artistes, aujourd’hui disparus, sont racontés par ceux qui les ont connus, aimés.

Un coup de projecteur, en même temps, sur des artisans, des spécialités de notre « Douce France ».
Jacques Pessis assurera le récit « off », à l’image de la série « Les Lumières du music-hall », à travers P6 Productions, il dispose d’un savoir-faire éditorial et de contacts privilégiés auprès des artistes ou de leurs ayant-droits.
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Pierre Perret l’a chanté : il est de Castelsarrasin. Il a usé les fonds de culotte de ses jeunes années, dans ce village, mais aussi dans les alentours. Pour ce « Douce France », l’éternel enfant dans l’âme qu’il
demeure, retrouve les paysages de ses 10 ans… Il se souvient du café de son père, qui le dirigeait, de sa mère qui faisait la cuisine et de personnages insolites, qui lui ont inspiré certains couplets.
Il nous entraîne sur les bords de la Saule, la rivière où il a appris à pêcher, à l’aube… Il nous fait découvrir Montjoie, dont l’épicerie dont les bonbons le faisaient rêver, et où se trouvait la « jolie colonie de
vacances », où il a passé plusieurs étés … Le bâtiment est toujours là, même s’il n’abrite plus des gamins.

Plus de soixante ans après, il y revient pour la première fois. Il retrouve les chemins qu’il empruntait pour aller se baigner, et celui qui, chaque matin, à l’aube, lui permettait de rejoindre le conservatoire de Toulouse où il a appris la musique.
Il nous entraîne aussi dans une école pas comme les autres, à Valence d’Agen, la première à qui l’on ait donné son nom, et où les gamins d’aujourd’hui étudient ses chansons joyeuses ou tendres.
Enfin, il révèle l’un de ses jardins secrets : les concerts qu’il donne pour aider les autres. Comme celui que nous découvrons à Tournefeuille, pour un « p’tit loup » prénommé Jonathan. Un « Pierrot la Tendresse » comme vous ne l’avez jamais vu, au cœur de paysages aussi ensoleillés que la chaleur de son regard et de son sourire.
Voici la bande annonce de l’émission.