Paroles et musique : Pierre Perret – © Editions Adèle 2007
Du Dieu Vulcain, quand l’épouse mignonne,
Va boxonner loin de son vieux sournois,
Le noir époux que l’amour aiguillonne,
Frénétiqu’ment se polit le Chinois.
– « Va-t-en », dit-il à sa fichue femelle,
« Je me fous bien de ton con chassieux,
De mes cinq doigts, je me fais un’ pucelle,
Masturbons-nous, c’est le plaisir des Dieux ! » Bis
Mais ! Laissons-lui ce plaisir ridicule,
Chacun, d’ailleurs, s’amuse à sa façon,
Moi je préfèr’ la manière d’Hercule,
Jamais sa main ne lui servit de con.
Le plus sal’ trou, la plus vieille fendasse,
Rien n’échappait à son vit glorieux,
Nous serons fiers de marcher sur ses traces,
Baisons, baisons, c’est le plaisir des Dieux ! Bis
Du Dieu Bacchus, quand accablé d’ivresse
Le vit mollit et sur le con s’endort,
Soixante-neuf ! et le vit se redresse,
Soixante-neuf ferait bander un mort.
O clitoris ! ton parfum de fromage
Fait regimber nos engins glorieux,
A ta vertu, nous rendons tous hommage,
Gamahuchons, c’est le plaisir des Dieux ! Bis
Quant à Pluton, le Dieu à large panse,
Le moindre effort lui semble fatigant,
Aussi doit-il sans craindre la dépense
Faire sucer son pénis arrogant.
Cette façon est cruellement bonne,
Pour terminer un gueuleton joyeux,
Après l’ dessert, on s’encule en couronne,
Enculons-nous, c’est le plaisir des Dieux ! Bis